Crépuscule marin,
Quand le soleil se noie au bout de l’horizon
Et que les rais obliques en fin de saison
Rasent le vernis bleuté des eaux et les vagues
Mourantes s’échouent sur le sable, je divague !
Je perds la notion de l’espace et du temps
L’air salin embaume les journées de printemps
Regardant la mer, aux flux, reflux expressifs
Dans un rythme infini, les rouleaux successifs.
Et je marche, mes pas s’enfoncent dans le sable
Leurs empreintes s’effacent, le geste immuable
Des flots, les vagues sereines chantent en chœur
Un doux refrain comme les battements du cœur !
Quand le soleil se noie au bout de l’horizon
Et que les rais obliques en fin de saison
Rasent le vernis bleuté des eaux et les vagues
Mourantes s’échouent sur le sable, je divague !
Je perds la notion de l’espace et du temps
L’air salin embaume les journées de printemps
Regardant la mer, aux flux, reflux expressifs
Dans un rythme infini, les rouleaux successifs.
Et je marche, mes pas s’enfoncent dans le sable
Leurs empreintes s’effacent, le geste immuable
Des flots, les vagues sereines chantent en chœur
Un doux refrain comme les battements du cœur !